Les volets mondialement réputés COVREX® fêtent leurs dix ans d’existence. C’est en 2004 que débute la collaboration entre LPW Ceramic Pools et l’entreprise allemande d’extrusion REHAU. Cette année-là, l’idée germe dans l’esprit d’Amaury de Troostembergh de LPW Zwembaden, une entreprise qui vend déjà dans le monde entier des milliers de volets de première qualité, du type COVREX® Classic comme du type COVREX® Solar. L’entreprise est désormais dirigée par son fils Guillaume qui continue à investir dans la qualité et l’innovation, les deux moteurs qui ont toujours animé COVREX.
COVREX est née des multiples demandes émanant de clients désireux de s’équiper de volets de qualité capables de résister à la grêle et aux UV. Mais aussi d’une brillante idée d’Amaury de Troostenbergh lorsqu’il a refermé une armoire de bureau en remarquant que les portes volets étaient fixés les uns aux autres grâce à des jointures souples. Il a immédiatement fait le lien avec les joints entre les lamelles d’un volet de piscine. Et COVREX était né.
Il a développé des lamelles plus solides, attachées avec des joints souples et a demandé à une firme d’extrusion allemande à la réputation internationale de les produire.
Ensuite, il a lancé le produit sur le marché en l’intégrant dans une vente couplée : en achetant une piscine chez LPW, le client devait automatiquement acquérir un volet COVREX s’il voulait recouvrir le bassin. Mais les qualités du volet COVREX ont permis rapidement de passer d’une stratégie « push » à une stratégie « pull » : les clients en sont vite venus en effet à demander à leur fabricant de piscine de prévoir un volet COVREX. Et ces fabricants ont commencé à leur tour à distribuer les volets originaires d’Aarschot.
L’entreprise estime que l’un des atouts majeurs de COVREX est son label de pur produit belge. Guillaume de Troostenbergh : « Il y a quelques années, une firme nous a proposé de transférer la production en Orient. La tentation était grande de délocaliser parce que la différence de prix était substantielle. Mais nous ne l’avons pas acceptée parce que « fabrication belge » reste une marque de qualité partout dans le monde. Il est vrai que les coûts salariaux et de production sont élevés en Belgique. Mais ce handicap est compensé par de la créativité, une productivité élevée et la compétence de nos collaborateurs. »